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Merci à Mots et maux
Les soumises, fautives et/ou guidées ont en commun de ne pas être « libres1 » : elles doivent obéir, à apprentissage progressif. Il y a des règles à apprendre et des réflexes à oublier.
La punition fait parties intégrantes d’une éducation de soumise ?
La douleur qui en résulte est elles indissociables ?
Ou la simple contrainte, suffit elle ?
Le mot dressage est il le bon où faut-il préférer l’apprentissage ?
Si libre2 n’est pas pour elle. Elle doit savoir, comprendre que la justice est faite pour les personnes libres et donc pas pour elle : c'est pour cela qu'on lui impose des sanctions.
De nombreuses punitions sont envisageables... Suivant le « caractère » de la personne. La punition peut consister, notamment orienter la rebelle vers une meilleure compréhension de ce « contrat » qu’elle a validé.
La punition remet la soumise, à sa place : Obéissance docile à tout ordre de son Maître ! Que le châtiment soit imposé pour chaque écart, un manquement, un acte de désobéissance, Le Maître punit… et c’est normal !
La punition, pour être efficace ne doit pas être une « punition plaisir ».
Et peuvent elle être infligés sans faute préalable, juste pour éprouver l'obéissance de la soumise ?
Ma réponse ici.
1) 1) Tout un débat sur ce mot.
LIBRE, adj. CNRTL
LIBRE, adj. dans le Littré (1er définition)
Qui à la jouissance de sa personne, qui n'est soumis à aucun maître. Dans l'antiquité la population se divisait en personnes libres et en esclaves.
2) 2) Je reviens sur le mot LIBRE, cet article reste dans le contexte d’un « jeu à deux » pas d’une règle de vie quotidienne.