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Merci à Mots et maux
Elle est mignonne à voir ! Penchée sur la table, elle palpe, écrase, appuye des bras et des mains. De
derrière, je la regarde, fixant les muscles de son dos qui parfois se courbe et c’est souvent à ce moment là qu’elle pousse les fesses en arrière comme pour prendre appui sur un support qui
n’existe pas.
Parfois sa langue à la pointe acérée sort d’entre ses lèvres, comme lors d’une concentration intense. Elle
s’arrête un moment, frotte ses mains l’une contre l’autre, reprenant sa respiration. Son épaule brune et légèrement dégagée laisse apparaître une bretelle de son soutien-gorge qui se prolonge à
travers son vêtement et ceinture son dos d’une ligne sensuelle. A présent c’est à deux mains, les bras tendus, qu’elle malaxe. J’entends son souffle s’accélérer doucement. Je dépose un baiser
dans son cou, remontant à petite touche vers l’oreille.
Les petits poils de ses bras se dressent violemment pendant qu’elle arrête
tout mouvement. J’en profite pour remonter son chemisier, laissant les paumes de mes mains lui enserrer les seins dont les pointes se dressent fièrement. Ses mains ne bougent pas, immobiles.
Elise a l’air d’arrêter le temps, de profiter de cet instant de douceur et de tendresse. Je chuchote à son oreille :
- Continue !
En lui mordillant le lobe de l’oreille, je vois ses mains replonger dans la
boule de pâte à tarte qu’elle prépare pour le souper. Chacun de ses mouvements fait tressaillir sa poitrine entre mes doigts. Je la sens concentrée… Est-ce sur la boule de pâte, ou sur le lent
mouvement de mes mains ?
Je glisse mes mains dans son dos et dégrafe la petite attache qui entrave mon
exploration. Une petite crispation de son corps accompagne la chute de ce premier rempart. Ses seins libres explosent dans mes mains. J’aime les envelopper, les prendre comme deux beaux fruits
murs à la peau lisse. Celle-ci se granule doucement sous la pression de mes caresses et c’est une petite tige raide et dure qui jaillit d’eux comme une fière petite gargouille de
cathédrale.
Elle tourne la tête doucement et commence à m'embrasser avec une douceur
infinie qui me fait chavirer. La pulpe de ses lèvres est douce, un peu froide comme un fruit après une averse. Ma langue dessine doucement des arabesques compliquées sur sa bouche en suivant la
commissure de ses lèvres. L’odeur de ses cheveux m’enveloppe, me grise doucement, m’englobe en entier. Je sens qu’elle s’abandonne, légère et confiante. Sa langue vient à la rencontre de la
mienne, prudente, timide. Petit serpent humide qui s’avance et recule, explore, touche, se rétracte vivement, prudent. Son parfum se mêle à son haleine, chaude, tandis que l’odeur de pâte et des
fruits préparés nous entoure de son arôme.
J’adore l’avoir dans le creux de mes bras, ses cheveux posés sur mon épaule.
Une de mes mains s’y enfouit, fouille, se perd dans les mèches brunes qui ruissellent à moitié sur mon visage. Elle est belle si détendue. Quelques petites rides sillonnent à présent son visage
comme le font les petits cours d’eau sur une carte de géographie. De petits sillons partent du coin de ses yeux comme les rayons de soleil.
Son visage est merveilleux. Chaque visage reflète le récit de sa vie, chaque
trait, chaque creux, chaque petite fosse à une histoire à raconter. J’essaye d’y lire comme dans un grand livre ouvert. Ses cheveux sentent le biscuit, le pain chaud qui refroidit après sa sortie
du four.
Les yeux fermés, elle s’abandonne à la langueur de ce baiser. Nos lèvres se
cherchent, se joignent puis partent à la découverte d’une joue, d’une fossette, d’un creux où elles se lovent. Toujours elles se retrouvent, se mordillent, s’offrent à l’autres, tendres, humides.
Son baiser me laisse tremblant, ivre d’elle et ma main dans ses cheveux l’attire plus près encore. Nos bouches se soudent, inassouvies elles s’emmêlent, se font plus gourmandes, dévoreuses. Nos
langues se touchent, s’enlacent, se frôlent, s’apprivoisent en jouant.
Mes doigts s’aventurent dans son cou, effleurent la peau fine de sa gorge et
dégrafent l’un après l’autre les petites boutonnières de son chemisier que je ramène sur ses épaules. Son dos est nu, ses seins sont nus, fragiles sous mes paumes qui les effleurent à peine. Sa
bouche se presse violemment contre mes lèvres lorsque deux de mes doigts s’emparent de la petite pointe qu’ils compriment doucement.
Ses yeux me fixent, tranquilles, reposés. Ses lèvres luisent, humides de notre
baiser et j’ai envie de les reprendre, de m’y replonger encore et encore. Un sourire me vient lorsque je réalise qu’elle enserre toujours la boule de pâte. Ses doigts s’y sont accrochés comme à
une bouée pendant que nos bouches se dévoraient.
Les petits tétons de ses seins sont raides, érigés, arrogants, comme des
fraises des bois. J’avise dans le plat sur la table une grosse fraise rouge luisante de fraîcheur. Sa peau comme la sienne paraît constellée de petits frissons. La saisissant, je la porte à sa
bouche qu’elle entrouvre légèrement. Je promène le fruit sur ses lèvres. Par petits mouvements elle essaie de s’en emparer, mais je suis plus vif et le retire à chaque
fois.
Maintenant c’est son sein qui reçoit la caresse. La fraise laisse des traces
humides sur le petit globe comme le ferait un petit escargot gourmant progressant sur un verre.
Je centre le fruit mur sur la petite pointe raidie et lentement je l’enfonce.
Elle pousse un petit cri lorsqu’elle voit disparaître le petit bout de son sein dans le fruit. L’impression est intense, sentir sa chair entrouvrir la pulpe du fruit pour s’y glisser, s’y loger.
C’est frais comme une bouche humide et enveloppante. Je l’enfonce avec application jusqu’à ce qu’il couvre complètement l’auréole brune. Avec application, je reprends un autre fruit et je pare
son autre sein de la même façon. Arquée, elle pousse sa poitrine en avant, s’offrant, deux fraises ouvertes ornant sa poitrine…
Déjà deux filets de jus sucrés s’écoulent de ses seins et ruissellent sur son
ventre. Excitante à dévorer, je recherche la présence de ses lèvres sur lesquelles les miennes viennent s’écraser avec force. Ses mains se débattent dans la pâte, elle essaye de s’en libérer pour
être libre.
Ma bouche quitte la sienne et plonge sous ses seins, récupérant le liquide
parfumé qui s’écoule des fruits. Je remonte en douceur jusqu’à sa poitrine, léchant chaque partie de sa peau. Alors comme une abeille, je butine une première fraise, écartelée sur le petit
mamelon. Je mordille, en prélevant de petits morceaux.
Saurais-je faire la différence entre le fruit et la chair ?
M’arrêter à temps ?
J’ai envie d’y mordre à pleine bouche
!
Parfois mes dents frôlent sa chair, lui arrachent un léger gémissement, ma
langue tournoie, avalant le jus qui s’écoule chaud dans ma bouche. Puis d’un coup, j’englobe le téton en entier, écrasant mes dents sur les fruits de chairs juteux. Elise émet un petit cri et ses
mains pleines de pâte viennent presser ma tête contre son sein.
Mes mains parcourent son dos de haut en bas, cherchant ses épaules nues, puis
redescendent le long de la colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses fesses. Ma bouche est remplie de sa chair, dure, ferme. Ma langue combat avec le petit téton qui frétille sous la
caresse. Il lutte sous mes assauts, je l’enroule dans le jus de fraise, le baigne dans cette saveur du fruit savoureux. Je le suce, l’aspirant par petites saccades et il gonfle lentement sous mes
lèvres qui l’enserrent vigoureusement.