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Merci à Mots et maux
Cette méthode est décrite dans plusieurs textes védiques, dont Shivambu Kalpa Vidhi, un chapitre du Dalaï
Tantra, texte sanskrit vieux de 5000 ans. En 106 versets (slokas), le dieu Shiva y explique à sa compagne Parvati tous les bienfaits que l'on peut retirer de la pratique de « la méthode de
régénération par l'eau de Shiva ». Le Dalaï Tantra, attribue même après un certain nombre d'années de pratique, clairement précisées, des pouvoirs magiques à cette
pratique.
Au XXe siècle, l'ancien premier ministre indien
Morarji Desai fut un ardent défenseur de cette méthode tout en étant la risée de ses pairs, Gandhi a abordé le sujet mais ne l'a jamais pratiqué.
Au Japon Amaroli aurait séduit deux millions de
personnes, un million aux Pays-Bas et cinq millions en Allemagne. Des Congrès mondiaux réunissant notamment des médecins ont été consacré à Amaroli en Europe ces dernières années. Selon la
littérature de ses partisans sur le sujet, Amaroli aurait des propriétés curatives étonnantes (augmentation des processus naturels d'élimination), mais beaucoup l'utilisent aussi à titre
préventif et comme cosmétique.
La prise d'urine par les pratiquants est précédée de
certaines règles. Généralement, l'absorption d'urine est limitée, il est conseillé de la précéder de l'absorption d'une nourriture saine et toujours suivie de l'absorption d'une quantité
importante d'eau claire. Le simple contact de l'urine (ensuite recrachée) avec les muqueuses de la bouche amènerait également des informations favorisant un rééquilibrage du
corps.
Comme toutes les méthodes créées avant l'avènement de
la médecine basée sur des preuves, il s'agit d'une méthode empirique dont l'efficacité n'a jamais été prouvée.
Pour une personne saine, l’urine est normalement
stérile dans la vessie ; cependant celle-ci est faiblement contaminée par les microorganismes commensaux présents sur le pourtour du méat urinaire lors de la miction. Cette contamination est
prise en compte lors d'analyse urinaire mais est normalisée dans sa nature qualitative : espèces de micro-organismes et quantitative : seuil de concentration de bactéries par millilitre. C'est
aussi pour cette raison qu'il est malgré tout conseillé d'éliminer les premières gouttes d'urine avant de constituer un échantillon interprétable. la méthode présente donc, en principe, peu de
risques d'infection ; le cas est différent si la personne souffre d'une infection urinaire, puisque les germes se retrouveraient alors dans les voies
digestives.
Pour donner un intérêt à cette pratique, les
promoteurs actuels mettent en avant la présence de vitamines, en particulier de vitamine C. Si l'urine contient des produits bénéfiques, elle contient aussi des produits dont le corps se
débarrasse via la miction, toxines et déchets du métabolisme (mécanisme d'élimination rénale).
L'urine contient de nombreux poisons, produits
naturellement par l'organisme, ou externes, tels que les drogues qui ont été consommées. En effet, uriner a entre autres comme rôle l'épuration des déchets du métabolisme cellulaire et
l'épuration des toxiques à élimination rénale.
Expérience de la Pluie
d'or