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Merci à Mots et maux
L'acomoclitisme est le fétichisme sexuel des pubis
glabres. Cela signifie par exemple que pour l’homme pratiquant ; « acomoclitisme », la vue des grandes lèvres rasées de sa partenaire est une source d’excitation
(voir Gynélophilie).
Quelqu’un qui préfère les parties génitales dépourvues de poil est acomoclitique. Pourtant un phénomène de société qu’est devenu le rasage (épilation) pubien est une pratique ancienne
principalement d’origine orientale.
· La religion.
· La tradition.
· Les tenues (port du string…)
· L’hygiène.
· L’esthétique du glabre « l’homme lisse… s’éloigner de la bête ? »
· La découverte de nouvelle sensation…
La propagation peut aussi être due à l’influence de la « pornographie »
· La recherche d’une virginité « artificielle » ?
· La recherche d’une forme de soumission, d’humiliation.
L'acomoclitisme est étroitement lié au rapport à l'enfance et au passage parfois difficile
à la vie adulte. Il existe également une ambiguïté. Relativement troublante. Entre le sexe rasé d un adulte et celui d'un enfant dépourvu de facto de poil.
L'épilation masculine peut être associée au courant du « manscaping » (désignant les soins du corps pour les hommes tels que l'épilation du torse et des jambes... tendance très
récemment acceptée par des hétérosexuels).
L'Histoire et l'acomoclitisme :
Les premières traces de l'acomoclitisme se trouvent chez les Égyptiens (même si les
premières pinces à épiler se trouvent dans des tombes préhistoriques). Le pharaon Ramsès II imposait l'épilation intégrale à son harem. Les prêtres et prêtresses étaient également fréquemment
épilés en signe de pureté. Le poil était en effet perçu dans cette société comme impur.
Dans le monde gréco-romain l'épilation était d'usage et considérée comme allant de soi. Dans les religions musulmane et judaïque l'épilation intime est parfois pratiquée dans certaines
régions.
Au début de l'ère chrétienne les Carthaginois connaissaient déjà la pince à épiler mais utilisaient également la résine. Tertullien impute ces pratiques à l'influence grecque.
En Europe épilation pourtant courante à certaines époques du Moyen-âge est devenue plus rare à la suite principalement de deux événements :
· Catherine de Médicis aurait exigé. dans les derniers jours de sa vie. que les femmes de sa cour cessent de s'épiler.
· A la découverte des indiens d'Amérique. les colons découvrirent ces individus presque imberbes et qu’ils considéraient alors des sauvages. Les colons se devaient de différencier leur Civilisation auraient alors choisis d’être plus poilus que les indiens.
Plus récemment les mouvements féministes de la fin des années 60 s'opposaient à l'épilation. Il aura fallut attendre la fin des années 90 pour que le monde occidental redécouvre l'acomoclitisme.
Notez qu'aucune définition n'existe dans les nombreuses encyclopédies papier et que les seules sources sont des copies pures et simples de wikipedia ou même des sites pornos !
C'est un goût courant en terre d’Islam où les femmes doivent s'épiler le corps avec des pates parfumées au miel qui laissent la peau sucrée (caramel décuit au citron) En Chine ancienne et dans la
Grèce antique les femmes aussi s'échangeaient leurs recettes : pommades, onguents, lames effilées...
Certaines cultures considèrent l'acomoclitisme comme une pratique évidente le pubis féminin non rasé y est synonyme de rejet de dégoût et d’un manque de respect pour le
partenaire.
(Encore une !)