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Le terme de sodomie vient du nom de la ville de Sodome. les habitants de Sodome sont en effet caractérisés par un grand appétit sexuel. En somme, les Sodomites (habitants) ne sont pas forcément sodomites (pratiquant de la pénétration anale).

 

Sous l'Inquisition espagnole du XVIe et XVIIe siècles. , la sodomie, à l'instar de la bestialité, était considérée comme un péché abominable. La sodomie était qualifiée de parfaite si elle était le fait de deux hommes et imparfaite (donc moins grave) si elle était le fait d'un homme et d'une femme. À noter que le terme incluait secondairement d'autres pratiques sexuelles, telle que fellation, cunnilingus, masturbation, etc. La torture était fréquemment pratiquée: y résister était une preuve de bonne foi.

 

La sodomie pouvait valoir à ses auteurs le bûcher, les galères, la prison à vie ou pour plusieurs années, le bannissement, des pénitences diverses... ou simplement d'être fouetté en public, selon la gravité de l'acte soigneusement pesée par les inquisiteurs. Cependant, dans ce domaine, la justice civile était encore plus sévère et plus expéditive.

 

Certains appellent la sodomie un 99 en référence au 69.

 

L’écrivain François Cavanna signale que nous n’avons en revanche à ce jour retrouvé aucune information sur la gomorrhie. Le terme est considéré comme synonyme de sodomie. (néanmoins, une MST est nommée Gonorrhée).


La sodomie est une pratique considérée comme déviante puisque ne menant pas à la reproduction, entourée des tabous liés aux fonctions excrétrices, surtout dans les civilisations où ces fonctions naturelles sont jugées honteuses, la sodomie est reçue de manière très diverse selon les sociétés et les religions. De nos jours, certains pays criminalisent toujours la sodomie entre adultes consentants, allant même jusqu’à requérir la peine de mort. La sodomie est aussi très souvent rapprochée de manière plus ou moins clichéique de l’homosexualité.

 

Dans certains milieux sociaux ou religieux, la sodomie peut également être une alternative à la pénétration vaginale pour ne pas rompre l’hymen de la femme avant le mariage ou éviter la fécondation, comme chez les Perses, où elle a longtemps été fortement recommandée comme un moyen de contrôler les naissances.

 

Dans l’Antiquité romaine, un homme libre qui sodomisait ses esclaves manifestait sa puissance. En revanche, un homme libre sodomisé se ravalait à un rang inférieur et cette passivité était considérée comme honteuse. C’est pour ces raisons qu’on compte, au titre des injures homophobes les plus courantes, des expressions comme (sale) enculé ou va te faire enculer, qui rappellent bien que, d’une manière stéréotypée et inconsciente, celui qui se fait sodomiser, surtout un homme, serait moins qu’un homme, un sous-être. (En effet, l’idée qu’un homme pénètre un autre homme porte atteinte aux stéréotypes sexistes voulant que l’homme soit le pénétrant actif, le pénétré passif étant considéré comme inférieur.)
  

L’Église catholique a longtemps condamné la sodomie et continue de le faire comme faisant partie des pires perversions humaines. 
 

Une légende veut que la sodomie fût pratiquée comme cérémonie d’intronisation des nouveaux membres de l’ordre des Templiers. Le qualificatif sodomite fit d’ailleurs partie de l’acte d'accusation lors du procès des Templiers. (Pourtant au moyen age la sodomie  incluait secondairement d'autres pratiques sexuelles, telle que fellation, cunnilingus, masturbation...)  

 


 

Synonyme…  

Anticoniste : Vocabulaire de l'homosexualité masculine, Claude Courouve, Payot, 1985, p. 85).

On suit de bien près la piste

De tous les anticonistes ;

Les dames, dans leur chagrin,

Travaillent, soir et matin,

Chansonnier Maurepas, 1682

Bardache :
Vient de bredaiche (XVIe siècle), emprunté de l'italien bardassa, lui-même de l'arabe bardag (« jeune esclave »). 

Bougre :
Du latin Bulgarus qui donne l’ancien français bogre désignait à l’origine les bogomiles : « amis de Dieu » du bulgare Bog « dieu » et mile « ami »), membres d’une secte bulgare hétérodoxe proche des mouvements cathares. On avait accusé ces bogomiles du péché de sodomie afin entre autres de les tourner en dérision. « Bougre » en est donc venu à ne plus désigner les seuls Bulgares bogomiles mais aussi par extension les sodomites (le terme était donc injurieux) et, par affadissement, un « gaillard », puis enfin un « individu ».

Ephèbe :
Chez les Athéniens, les enfants entraient à l’âge de dix-huit ans dans la classe des éphèbes. C’est un jeune homme, en pratique un garçon qui a quitté l'autorité des femmes, mais n'a pas encore de barbe au menton. Par extension, le terme désigne aujourd'hui, souvent avec une connotation ironique, un jeune homme d'une grande beauté...


Enculade :
vulgairement action de sodomiser. Et que l’injure peut devenir une simple interjection, « enculé ! », somme toute démotivée et parfois positive voire affectueuse.  

Par delà le détail des enculades, de la grosseur des queues ou du nombre de coups, la pornographie est une relation brûlante qui se moque d’être vraie, une intensité inversement proportionnelle à l’intimité

Pascal Bruckner et Alain Finkielkraut, Au coin de la rue, l’aventure, Seuil, 1979, p. 229.

Giton : Jeune mulet de moins d'un an. Dans le langage courant, il peut également désigner un jeune homme gracieux et immature ou un jeune éphèbe.


Hérétique :
Du grec « haireo » qui signifie « choisir ». Utilisé au moyen age.

Homosexuel :
Du préfixe homo « même » et de l’adjectif sexuel. Homme ou femme attiré sexuellement par des personnes de son sexe.

Mignon :
Favori, en mauvaise part (masculin seulement). Personne qu’on affectionne, enfant.                                                       M
on mignon.

Mon petit mignon.

Ma mignonne, mon amour.


Sodomite : Celui qui pratique la sodomie, de manière insertive ou réceptive. 

Sodomiste :
Celui qui pratique la sodomie, c'est-à-dire le coït anal avec un homme ou une femme, de manière active ou passive.

« On dit sodomite, Monsieur ! » répondait Verlaine au juge qui lui demandait ;
« Il est vrai que vous êtes sodomiste ».
Gide, Journal, 1918.



J'ai aussi découvert :

Anomeatie : Sexe anal avec un partenaire féminin.
Si on analyse l'origine de l'anomeatie qui vient de :
L'anomie
du grec a- : absence de, et nomos : nom, loi, ordre, structure. C'est l'état d'une société caractérisée par une désintégration des normes qui règlent la conduite des hommes et assurent l'ordre social.
Ou : S
ituation où l'individu est dans l'impossibilité, du fait de sa position dans la structure sociale, d'atteindre un objectif défini et même prescrit par la culture de la société dans laquelle il vit » (Dictionnaire de sociologie, Le Robert/Seuil, 1999).
Remarque : la définition d'E. Durkheim renvoie à  l'idée de désirs illimités chez les individus ; celle de R.P. Merton renvoie à  l'idée d'insuffisance des moyens pour atteindre des objectifs déterminés.

Ma question :
pourquoi pour les femmes ?



Pénétration par le passage étroit .
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J'adore...
Je n'ose pas.
Pas pour moi !
Bof.
Jamais.



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Par Essentiel - Publié dans : Dictionnaire
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