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Si c'est théoriquement tentant, cela pose, notamment au dominant, des problèmes sinon éthiques du moins... surtout techniques !

Il faut plaquer une femme au sol, lui déchirer ses vêtements, la gifler, la pénétrer... est un ensemble de pratiques que l'on peut trouve dans le BDSM, mais si la femme se débat de manière convaincante !!!  

Faut-il la frapper pour de bon ? (pas sûr que ce soit ce que veut la soumise !!!) La menacer d'une arme ? S'en servir si elle n'est pas impressionnée ?

Autre problème technique : ne jamais essayer face à une femme plus « forte » que vous !   


 

Récit pour illustrer :  

Mon ex copine  a eut ce fantasme. Nous en avons parlé longtemps. Je lui ai dit que pour le réaliser, ça devais arriver sans qu'elle le sache et que j aurais besoin  d'un complice pour m'aider. 
Nous étions d accord pour que ca puisse arriver entre le lundi et le jeudi, donc le mardi soir lorsqu’elle quitta le cinéma, moi et mon ami nous l'avons enlevé à bord de mon camion et nous l'avons attaché puis bâillonner, nous lui avions mis un oreiller sur la tête.  Pendant que copain conduisait, je lui arrachai c'est vêtement et lui en donna de son fantasme.

Je peux dire que j'ai eu quelque difficulté car je ne suis pas un violeur, mais elle m a dit avoir aimé cela car elle savait que c'était moi qui la baisait. Personnellement je ne le ferais plus !


  

Pourquoi « le viol simulé, fantasmé... » devrait être vraisemblable ? 

Nous sommes encore dans le « jeu ! ». Tout le vécu BDSM se passe dans un contexte conventionnel (au sens de basé sur une convention, un accord explicite entre les protagonistes, avec ou sans ce fameux contrat écrit). 

Ce vécu est formalisé, construit, mis en scène, théâtralisé… La soumise sait en gros à quoi s'attendre. L'anticipation concourt à construire le climat. 

La solennité, la théâtralisation ne font qu'accentuer le côté fantasmatique, le côté cérébral.

Cette convention et cette théâtralisation sont aussi ce qui établit la différence entre une agression hostile et une relation consentie, entre donc un viol crapuleux et un jeu.

 

L'ignorance où elle est tenue de tout ou partie des détails fait partie des ingrédients, au même titre d'ailleurs que l'inverse, à savoir l'exposé « sadique » et détaillé des sévices qui lui seront infligés.

Ces informations concourent tout autant à la mettre en condition, qu'il s'agisse d'alimenter son anxiété et/ou son attente...

 

Personnellement, je ne me vois pas « agresser » une partenaire en dehors de circonstances où elle sait que quoi qu'il se passe, nous sommes dans notre cadre.

 

D'autre part, je ne me vois pas non plus déchirer des vêtements auxquels elle tient peut-être pour des motifs qui lui sont propres, financiers ou sentimentaux…

 

Je suggère aussi de mettre des vêtements et sous-vêtements susceptibles de subir des avanies. (Problème : Là nous sommes confronté au temps elle va savoir lorsque vous allez la « surprendre ! »).

Lui demander aussi des vêtements « adaptés ! ». Imaginez cet « agresseur » viril... peinant à déchirer une veste en jeans ou pire, s'échinant à déboutonner une braguette à boutons difficiles...

Il faut donc choisir : un fantasme de viol  assumé à deux, ou un sketch comique pour la « caméra invisible » et le bide si cela se passe mal.

 

L'anticipation de ce « viol » convenu, programmé, préparé ? C'est déjà un fameux acompte pour les deux partenaires. Au même titre que l'annonce d'une punition…

Laissons, faisons mariner notre soumise dans son plaisir et dans son anxiété, lesquels seront certainement mêlés dans ce genre de scénario.


   

Récit pour illustrer :

Il aime bien pratiquer la sodomie... sur moi !

Et moi j'adore ! Alors pas de problème.

Mais un soir, après l'avoir fait la veille et d'en être légèrement irritée je me montre réticente.

Il m'avait renversé sur le ventre et comme nous étions au lit pour faire dodo, l'accès à mes fesses lui était toute simple. 
J'ai protesté en disant que j’étais un peu irrité et en me disant intérieurement que ça me brulerais.

Mais il s'est montré insistant et a commencé à enlever mes mains et à être plus brusque.

Alors je me suis mise à combattre et en moins de une je me suis retrouvé prisonnière de son corps, les bras immobilisés ainsi que les jambes.

Je me souviens d'avoir alors pensé que je n'aurais pas pu combattre un vrai viol dans une rue ou autre parce qu'il avait eu le dessus si facilement...

Il m'a pénétré de force. Sans me faire mal quand même !

Mais alors que je rouspetais, il a commencé la sodomie. 

On n’en avait pas parlé... C'était spontané et il a malgré tout pris soins de ne pas me faire mal...Ce qui fait que je peux affirmer que j'ai joui comme jamais ce soir là...
 

Sûr, je pourrais changer ma perception et dire qu'il m'a violé... (viol conjugal) mais une certaine complicité de l'époque me permet d'affirmer que tout était de l'ordre du ressenti et du non dit... 

Comme quoi la ligne est mince...entre le plaisir et le drame.

Entre l'abandon et la colère.

Pas toujours évident.


Violence imaginaire (sondage)

Par Essentiel - Publié dans : Jeux
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