A mon retour :

Elle est au sol en boule dans la mare créée par mon urine.

« Tu vas me lécher les pieds. »

Je ne cherche même pas à lever mon regard qui reste au ras du sol, je commence à me trainer, à ramper jusqu'à Ses pieds, que je commence à lécher... 

« J'ai cru que tu avais compris. »

- 5 coups de martinet sur son cul.

Je n'écoute plus ses cris...

- 5 autres sur chaque flan, et la je cherche à toucher ses seins allant plus loin que ses auréoles ressentent bien juste les mèches.

- 5 autres sur son cul juste sur la raie des fesses que les lanières rentrent dans sa fente à la recherche de son clitoris.

Je frappe encore plusieurs fois visant indirectement les points sensibles.

Elle s'écrase sur le sol affin de diminuer les impacts. 
J'enfonce alors le manche du martinet dans son cul conçu pour cela et qu'il reste bien ancré en elle. 
« Dans ta demande… Tu voulais boires mon urine chienne et maintenant tu vas lécher mon cul».

Je me retour écartes les fesses et lui présente mon anus. 

Mes fesses, mes côtes, mes seins et même mon intimité me font atrocement souffrir et avec ce manche enfoncé profondément dans mon anus cela a rajouté une douleur supplémentaire, la punition fut terrible à endurer pour moi, j'ai hurlé tout ce que je pouvais mais Il ne s'est jamais arrêté, juste quand Il l'avait décidé... 

Je me rappelle d'une de Ses exigences du départ et ouvre la bouche, encore sanglotante, d'une voix tremblante :
« Merci Maître pour cette punition... et je suis désolée je n'étais pas prête et je n'ai pas été à la hauteur de Vos espérances, pardonnez-moi de Vous avoir déçu ».

Je me redresse ensuite pour que ma bouche soit à la hauteur de Ses fesses, je sors ma langue et commence à lui lécher la raie, puis plus précisément et avec application Son anus...

A ce moment, je suis partagée entre la honte de ma position, mon corps encore sali d'urine, le manche du martinet enfoncé en moi et moi entrain de lui lécher l'anus et la honte de me sentir être une mauvaise soumise, les marques rouges sur une grande partie de mon corps le prouvant et me le faisant rappeler douloureusement.