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Tout est dans le contexte. Je m'adapte à la
situation à la personne.
Le plus dur c'est de trouver la frontière entre le plaisir et le déplaisir.
Dans la réalité des choses sont faciles (enfin !!!) avec certaines personnes d'autres non.
S'il n'y a pas de plaisir je ne vais pas dans un domaine. Je peux pousser pour voir mais je ne vais pas ou il risque d'y avoir des « dommages… »
Ex ; une femme qui est contre l'urologie je ne le fait pas, si elle ne sait pas j'essaye, si elle adore sans problème...
Par contre il y a des choses que je n'accepte pas d'une femme qui s'offre à moi. Pour moi une fellation est total... une soumise dois me boire.
Si elle ne peut, n'y arrive pas je prendrai mon temps cela peut durée 2 ans mais elle y arrivera (je suis très calme, patient, je ne cri jamais, je ne force jamais mais je reviens régulièrement sur ma proposition.) Je ne fais cela que si je sais qu'il y a des possibilités... Je discute… J'explique !
Les paradoxes de la vie...
Il faut vraiment trouver cette frontière elle va évoluer avec la vie. Ne pas faire peur, ne pas brusquer, guider simplement trouver ce qui fait vibrer...
Dans 4 mains je n'ai que ce que tu m'écris ! Je ne vois pas tes yeux, n'entends pas ta respiration, tes gémissements, tes réactions corporelles... tout ce qui fait que je peux comprendre, penser que je peux aller plus loin ou faire marche arrière. Il y a quelques mois j'ai connu une soumise « maso » cela n'a pas fonctionné car je suis trop « soft » (tu vois chacun son point de vu sourire) Elle avait l'habitude d'être humiliée, battue, martyrisée...
Moi je caresse, je m'amuse, mon plaisir passe par le plaisir de l'autre... Elle m'a dis n'avoir jamais jouis avec son clitoris et j'arrive à la faire jouir... Non que je suis meilleur qu'un autre mais j'essaye de ressentir, de suivre ce que je vois, entends. Cette même femme qui a connue des choses que je n'arrive pas à imaginer, elle a eu peur lorsque je l'ai pénétré avec un œuf dans son sexe elle pensait que j'allais lui faire très mal et... elle a jouis...
Tout cela pour te dire que nous avons nos peurs, nos craintes... j'essaye de les trouver dans le jeu surtout pas de te faire fuir... J'aime trop votre plaisir et le mien aussi.
J’espère avoir répondu aux interrogations.
Le plus dur c'est de trouver la frontière entre le plaisir et le déplaisir.
Dans la réalité des choses sont faciles (enfin !!!) avec certaines personnes d'autres non.
S'il n'y a pas de plaisir je ne vais pas dans un domaine. Je peux pousser pour voir mais je ne vais pas ou il risque d'y avoir des « dommages… »
Ex ; une femme qui est contre l'urologie je ne le fait pas, si elle ne sait pas j'essaye, si elle adore sans problème...
Par contre il y a des choses que je n'accepte pas d'une femme qui s'offre à moi. Pour moi une fellation est total... une soumise dois me boire.
Si elle ne peut, n'y arrive pas je prendrai mon temps cela peut durée 2 ans mais elle y arrivera (je suis très calme, patient, je ne cri jamais, je ne force jamais mais je reviens régulièrement sur ma proposition.) Je ne fais cela que si je sais qu'il y a des possibilités... Je discute… J'explique !
Les paradoxes de la vie...
Il faut vraiment trouver cette frontière elle va évoluer avec la vie. Ne pas faire peur, ne pas brusquer, guider simplement trouver ce qui fait vibrer...
Dans 4 mains je n'ai que ce que tu m'écris ! Je ne vois pas tes yeux, n'entends pas ta respiration, tes gémissements, tes réactions corporelles... tout ce qui fait que je peux comprendre, penser que je peux aller plus loin ou faire marche arrière. Il y a quelques mois j'ai connu une soumise « maso » cela n'a pas fonctionné car je suis trop « soft » (tu vois chacun son point de vu sourire) Elle avait l'habitude d'être humiliée, battue, martyrisée...
Moi je caresse, je m'amuse, mon plaisir passe par le plaisir de l'autre... Elle m'a dis n'avoir jamais jouis avec son clitoris et j'arrive à la faire jouir... Non que je suis meilleur qu'un autre mais j'essaye de ressentir, de suivre ce que je vois, entends. Cette même femme qui a connue des choses que je n'arrive pas à imaginer, elle a eu peur lorsque je l'ai pénétré avec un œuf dans son sexe elle pensait que j'allais lui faire très mal et... elle a jouis...
Tout cela pour te dire que nous avons nos peurs, nos craintes... j'essaye de les trouver dans le jeu surtout pas de te faire fuir... J'aime trop votre plaisir et le mien aussi.
J’espère avoir répondu aux interrogations.
Commentaires
***** Un homme sans sa "Soumise" n'existe pas et inversement et pour cause. Certainement que seuls quelques individus peuvent se vanter d'avoir connu une telle plénitude. Voila pourquoi il est tellement difficile d'envisager que cela puisse un jour se répéte. Heureux qui a éprouvé un tel amour. Malheureux qui essaie de se libérer pour à nouveau se projeter.
Copyright © 6 sens. 2008 - 2014
Avant tout pas d'hypocrésie, et de la patience. Des récits épistolaires échangés peuvent aider à comprendre, à deviner, l'envie et le plaisir de l'autre, une certaine complicité nait. On peut dire que c'est un gain de temps, que cela peut éviter tout malendu sur les plaisirs recherchés de l'un et l'autre. Il faut savoir prendre son temps et ne rien précipiter.
Bisous . Swanie.
Oui j'adore cette approche.
L'échange avant...
un blog respectueux qui laisse entrevoir
des notions de plaisirs et de dons échangés
du temps, de la patience dans toute sa beauté
Une femme n'est pas un objet.
Je ne devrais même pas l'expliquer c'est une moitié une moitié que nous avons perdue...
Une moitié que nous voulons récupérer,que nous voulons reprendre, adorer, sublimer...
Alors pourquoi ne pas la respecter et jouer avec elle ?