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Vêtue d’un peu d’été et
bronzée de paresse,
J’aborde lentement le sablier du temps,
Je m’appelle Patience à l’orée des promesses,
Et valse l’inconscience ornée de blancs rubans.
Je voudrais m’enrichir et magnifier l’espace,
Pour frôler de mes doigts la lune ou le soleil,
Claironner à tous vents que c’est par contumace
Qu’il faudra me juger à mon dernier sommeil.
Peu m’importe le soir et le
poids du passé,
Je m’endors apaisée et gorgée de lumière,
Précaires certitudes, obscures vérités,
Passez votre chemin car demain n’est plus hier.
Je m’appelle Patience et suis persévérante,
Mes zones de couleur apprennent le futur,
J’aborde doucement un avenir qui chante,
Peu m’importe le soir, j’accepte l’aventure.
Commentaires
***** Un homme sans sa "Soumise" n'existe pas et inversement et pour cause. Certainement que seuls quelques individus peuvent se vanter d'avoir connu une telle plénitude. Voila pourquoi il est tellement difficile d'envisager que cela puisse un jour se répéte. Heureux qui a éprouvé un tel amour. Malheureux qui essaie de se libérer pour à nouveau se projeter.
Copyright © 6 sens. 2008 - 2014
Brr... La goutte d'eau va t'elle épouser le dos de la Belle ?
Belle photo
Vous nous mettez en haleine !
Patience, c'est beaucoup nous demander.
Cette histoire de toute beauté, pour notre plaisir,
se plonger à nous étourdir d'ivresse pour ce fruit défendu...Patience, patience
Vous nous maintenez en haleine !
A bientôt
Vêtue d’un peu d’été et bronzée de paresse
J’aborde lentement le sablier du temps,
Je m’appelle Patience à l’orée des promesses,
Et valse l’inconscience ornée de blancs rubans.
Je voudrais m’enrichir et magnifier l’espace,
Pour frôler de mes doigts la lune ou le soleil,
Claironner à tous vents que c’est par contumace
Qu’il faudra me juger à mon dernier sommeil.
Peu m’importe le soir et le poids du passé,
Je m’endors apaisée et gorgée de lumière,
Précaires certitudes, obscures vérités,
Passez votre chemin car demain n’est plus hier.
Je m’appelle Patience et suis persévérante,
Mes zones de couleur apprennent le futur,
J’aborde doucement un avenir qui chante,
Peu m’importe le soir, j’accepte l’aventure.
Alors, je veux bien me faire patience,
me délecter au mot par mots;
pour me confondre au gré du temps.
Je vais de çi de là,
ainsi m'abandonner par la patience
qui me guidera où elle le voudra.
Merci à vous pour ce rayon de soleil...
Sourire.