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Je me résous à incliner davantage le verre et le liquide opalescent commence à couler dans ma bouche
humectant mes muqueuses d'une saveur à la fois salée et fade. Je déglutis rapidement pour avaler l'infâme boisson. Je ne peux toutefois réprimer un hoquet de dégoût. Puis, le plus rapidement
qu'il m'est possible afin que cesse au plus vite cette horreur, je bois à grandes gorgées le contenu écœurant du verre que je repose vivement, une fois vidé, sur la table tout en essuyant mes
lèvres d'un revers de main.
« Très bien », dit-il d'un ton radouci. Tu vois ce n'était pas si difficile.
« ... Non Maître.... vous avez raison », arrivai-je à balbutier tout en retenant l'envie de vomir que je ressens.
Je ressens soudain un énorme ressentiment à l'égard de mon Maître de m'avoir contrainte à cela. J'ai soudain l'impression que quelque chose est en train de se briser en moi. Je retiens à grand peine mes larmes de tristesse et je sens mon menton trembler misérablement.
« Mais nous n'avons pas fini », reprend t’il tout en se levant du canapé. Viens te mettre à genoux devant moi.
Complètement tétanisée par ce que je viens de subir et la bouche encore emplie du goût acre et persistant de mon urine, je m'exécute sans un mot.
« Nous allons continuer ce que tu as si bien commencé et tu vas avoir maintenant l'honneur de goûter à mon urine ».
Non, il ne peut pas me demander cela. Pas cette déchéance ultime qui me ramène au plus bas niveau de l'humiliation. Complètement affolée et l'esprit en déroute, je le regarde se positionner devant moi. Lentement, prenant son temps, il sort son sexe et le dirige vers ma bouche. J'ai un mouvement de recul lorsque je sens la verge amollie se poser sur mes lèvres et en forcer l'entrée. Désespérée, je serre les lèvres, refuse ma bouche à son membre et ébauche un mouvement instinctif de recul. Dans un brouillard, je vois la main de mon maître s'élever.
« Tu oses te rebiffer et te refuser, tonne mon Maître. As-tu oublié ce que tu es ? Et ce que tu me dois ? ».
« Nnn....non Maître », arrivai-je à souffler entre mes sanglots.
« Je veux te l'entendre dire ! », m'ordonne-t-il d'un ton dur
« J....j...je …suis... vvvvvotre esclave et je vous dois... obéissance », sanglotai-je.
« Non, tu es beaucoup moins que cela. Tu es ma chienne et je peux faire de toi ce qu'il me plaît. T'utiliser comme bon me semble... tu as compris ! ».
Les mots terribles qu'il prononce sont comme autant de poignard qui me lacèrent impitoyablement. Je ne comprends pas ce qui arrive. Ce qui me vaut un tel mépris.
« Alors maintenant tu vas ouvrir ta bouche et je vais y pisser dedans. Et tu as intérêt à tout avaler.... Exécution ! » .
Je tremble d'effroi et d'humiliation à ces mots qui broient mon cœur. Toutes mes belles résolutions volent en éclat et je me sens sombrer dans un désespoir sans fond. Mais domptée, j'ouvre ma bouche dans laquelle mon Maître enfourne sans plus attendre son membre l'enfonçant au fond de ma gorge. J'ai un haut de cœur incontrôlable quand je sens le liquide chaud et salé gicler en un jet puissant au fond de ma gorge et inonder ma bouche. Il me semble atteindre le fond de l'indignité et de l'avilissement alors que mon Maître se répand en moi en un jet qui me paraît intarissable. Ma bouche se remplit inexorablement. Péniblement je déglutis. Mais pas assez vite pour avaler tout le liquide qui se déverse dans ma bouche et que je sens dégouliner le long de mon menton. Je perds mon souffle, m'étouffe alors que les derniers jets atteignent le fond de ma gorge. Je dois déployer un effort incommensurable pour éviter que mes dents ne se referment dans un spasme sur le sexe de mon Maître. Enfin, mon Maître se retire de ma bouche. Je pense que mon supplice a pris fin mais tendant son membre vers moi il m'ordonne d'essuyer de ma langue les dernières gouttes qui scintillent sur son gland et dans sa toison.
« Très bien », dit-il d'un ton radouci. Tu vois ce n'était pas si difficile.
« ... Non Maître.... vous avez raison », arrivai-je à balbutier tout en retenant l'envie de vomir que je ressens.
Je ressens soudain un énorme ressentiment à l'égard de mon Maître de m'avoir contrainte à cela. J'ai soudain l'impression que quelque chose est en train de se briser en moi. Je retiens à grand peine mes larmes de tristesse et je sens mon menton trembler misérablement.
« Mais nous n'avons pas fini », reprend t’il tout en se levant du canapé. Viens te mettre à genoux devant moi.
Complètement tétanisée par ce que je viens de subir et la bouche encore emplie du goût acre et persistant de mon urine, je m'exécute sans un mot.
« Nous allons continuer ce que tu as si bien commencé et tu vas avoir maintenant l'honneur de goûter à mon urine ».
Non, il ne peut pas me demander cela. Pas cette déchéance ultime qui me ramène au plus bas niveau de l'humiliation. Complètement affolée et l'esprit en déroute, je le regarde se positionner devant moi. Lentement, prenant son temps, il sort son sexe et le dirige vers ma bouche. J'ai un mouvement de recul lorsque je sens la verge amollie se poser sur mes lèvres et en forcer l'entrée. Désespérée, je serre les lèvres, refuse ma bouche à son membre et ébauche un mouvement instinctif de recul. Dans un brouillard, je vois la main de mon maître s'élever.
« Tu oses te rebiffer et te refuser, tonne mon Maître. As-tu oublié ce que tu es ? Et ce que tu me dois ? ».
« Nnn....non Maître », arrivai-je à souffler entre mes sanglots.
« Je veux te l'entendre dire ! », m'ordonne-t-il d'un ton dur
« J....j...je …suis... vvvvvotre esclave et je vous dois... obéissance », sanglotai-je.
« Non, tu es beaucoup moins que cela. Tu es ma chienne et je peux faire de toi ce qu'il me plaît. T'utiliser comme bon me semble... tu as compris ! ».
Les mots terribles qu'il prononce sont comme autant de poignard qui me lacèrent impitoyablement. Je ne comprends pas ce qui arrive. Ce qui me vaut un tel mépris.
« Alors maintenant tu vas ouvrir ta bouche et je vais y pisser dedans. Et tu as intérêt à tout avaler.... Exécution ! » .
Je tremble d'effroi et d'humiliation à ces mots qui broient mon cœur. Toutes mes belles résolutions volent en éclat et je me sens sombrer dans un désespoir sans fond. Mais domptée, j'ouvre ma bouche dans laquelle mon Maître enfourne sans plus attendre son membre l'enfonçant au fond de ma gorge. J'ai un haut de cœur incontrôlable quand je sens le liquide chaud et salé gicler en un jet puissant au fond de ma gorge et inonder ma bouche. Il me semble atteindre le fond de l'indignité et de l'avilissement alors que mon Maître se répand en moi en un jet qui me paraît intarissable. Ma bouche se remplit inexorablement. Péniblement je déglutis. Mais pas assez vite pour avaler tout le liquide qui se déverse dans ma bouche et que je sens dégouliner le long de mon menton. Je perds mon souffle, m'étouffe alors que les derniers jets atteignent le fond de ma gorge. Je dois déployer un effort incommensurable pour éviter que mes dents ne se referment dans un spasme sur le sexe de mon Maître. Enfin, mon Maître se retire de ma bouche. Je pense que mon supplice a pris fin mais tendant son membre vers moi il m'ordonne d'essuyer de ma langue les dernières gouttes qui scintillent sur son gland et dans sa toison.
***** Un homme sans sa "Soumise" n'existe pas et inversement et pour cause. Certainement que seuls quelques individus peuvent se vanter d'avoir connu une telle plénitude. Voila pourquoi il est tellement difficile d'envisager que cela puisse un jour se répéte. Heureux qui a éprouvé un tel amour. Malheureux qui essaie de se libérer pour à nouveau se projeter.
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