Dans tous les sens

Pub Grrrr

STOP PUB Pour supprimer les publicités intempestives qu'il est désormais Absolment impossible d'éviter sur les blogs erog, merci d'installer sur votre navigateur internet le module complémentaire Adblock Plus 

 

Merci à Mots et maux

Rechercher

Syndication

  • Flux RSS des articles

 

Gage

Lire ce texte entierement et en gardant le fil.

Ce en recevant des caresses intimes.

 





 

« Mon fantasme ? Etre attachée et sans défense à la merci de mon homme » ; « j’aimerais que mon compagnon me réveille en pleine nuit pour me faire un cunnilingus ou l’amour » ; « l’un des plus fréquents fantasmes pour moi est celui d’une super soirée restau. Et au moment d’entrer dans notre appartement, il me plaque contre le mur et commence à me chauffer sans rien me dire. En gros, j’aimerais qu’il soit sauvage tout en restant doux.»

Selon cette enquête, 71% des femmes confient avoir des fantasmes (27% jamais). Or, à en croire Philippe Brenot, « les fantasmes sont une source intérieure d’excitation certainement nécessaire à une libre sexualité ». Mais si la liste de ces attentes imaginaires est longue, il est frappant de constater que l’un des premiers fantasmes rapportés par les femmes met en scène leur compagnon ou leur mari. Certes dans des comportements inhabituels, mais quand même. « Cela évite la culpabilité », décrypte Brenot. Mais les fantasmes de multipartenariat (une façon de jouer à «je te trompe mais tu es quand même là») ne sont pas loin, suivis par le saphisme : «J’aimerais une vraie scène d’amour, mais c’est souvent avec une femme que je l’imagine, car au moins, avec une femme, je sais comment recevoir et donner le plaisir.» Voilà pour les plus fréquents. Soumissions, masochisme, voyeurisme, etc., tous les goûts sont cependant dans la nature. Y compris féminine, ça va de soi.

 

Lu ici...

 

Si je regarde les enquéte de l'IPSOS.

 

 Sexualité : de quoi les Françaises ont-elles vraiment envie ?

 
Ipsos a réalisé une enquête pour Psychologies Magazine (dans le numéro paru le 29 avril 2014) qui confirme que les Françaises sont de plus en plus décomplexées dans leurs pratiques sexuelles.

Sans surprise, leurs comportements, envies et attentes évoluent en fonction de facteurs multiples (dont leur génération et l'âge de la vie dans lequel elles se situent).

En trois mots, la clef de succès pour leur faire éprouver plus de plaisir : sensualité, audace, sauvagerie...
 

Si les femmes expriment davantage leurs désirs sexuels, en revanche, elles ne réalisent que rarement leurs fantasmes.

Si la parole féminine se libère, dans bien des cas les femmes « osent » toujours moins que les hommes...

C'est l'un des premiers grands enseignements de l'enquête.

Certes, la quasi-totalité des interviewées a le sentiment que depuis ces dernières années, les femmes osent davantage exprimer leurs désirs sexuels (97%) et ce quel que soit leur âge, leur niveau d'études ou encore leur situation de famille.

A priori donc, tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

De la même façon, la grande majorité d'entre elles perçoit cette libération de la parole comme un phénomène positif (82%), même si elles estiment le plus souvent qu'il est «plutôt» positif (61% contre seulement 21% qui considèrent qu'il est «très» positif).

Le fait que leur opinion soit modérée en ce qui concerne les répercussions d'une plus grande liberté de propos pose en filigrane la question de la libération de la parole masculine.

Globalement, cette dernière reste probablement plus libre que celle des femmes, même si pour une partie des femmes interrogées il y a désormais une égalité parfaite.

Ainsi, seule une courte majorité des interviewées estime que les femmes osent autant que les hommes parler de leurs fantasmes sexuels (51%) ou encore demander franchement ce dont elles ont envie au lit (50%).

A l'opposé, bon nombre d'entre elles continuent de considérer que la liberté de parole est aujourd'hui plus forte chez les hommes en ce qui concerne la capacité à parler de ses fantasmes (34% contre seulement 14% qui pensent que les femmes osent plus facilement le faire) ou encore demander franchement ce dont on a envie au lit (37% contre 12% pour les femmes).

Le seul sujet dont elles estiment majoritairement parler autant que les hommes (51%), voire plus qu'eux (30%), c'est de leur plaisir.

C'est probablement le principal « marqueur » d'une sexualité féminine toujours moins libre que celle des hommes.

En effet, seulement 43% des interviewées estiment que les femmes osent autant que les hommes réaliser leurs fantasmes sexuels, tandis que presqu'une sur deux considère que ce sont eux qui osent le plus le faire (47%).

D'ailleurs, un autre chiffre est assez éloquent : moins d'une femme sur quatre avoue qu'il lui est souvent arrivé de réaliser l'un de ses fantasmes (24%).

Dans la plupart des cas elles ne l'on fait que rarement (47%), voire jamais (25%).

Il est donc assez peu étonnant que moins d'une femme sur cinq avoue qu'il lui arrive de se sentir honteuse de certains de ses désirs ou de ses fantasmes (18%) puisque de toutes les façons elles passent rarement à l'action.

Autre enseignement de l'enquête, si les femmes se montrent globalement satisfaites de la qualité de leurs relations sexuelles, les résultats montrent à plus d'un titre que certaines estiment que tout n'est pas parfait, loin s'en faut.

D'abord, la note qu'elles attribuent au plaisir qu'elles ressentent lors de leurs relations sexuelles est certes honorable mais loin d'être exceptionnelle (7/10).

Moins d'une femme sur cinq attribue une note comprise entre 9 et 10 (19%), tandis qu'un tiers se montrent relativement critiques en donnant à leur plaisir sexuel une note inférieure ou égale à 6/10 (30%).

Nul doute que si les femmes expriment une satisfaction sexuelle certes bonne mais aussi modérée, c'est en partie en raison de leur moindre capacité à « oser » demander non seulement à ce que leurs fantasmes soient exaucés mais aussi tout simplement, à prendre l'initiative de l'acte sexuel (seules 53% reconnaissent le faire souvent).


Fréquence des rapports sexuels : et si les hommes souffraient aussi du syndrome de la migraine ?

Aujourd'hui, une femme sur deux déclare faire l'amour au moins une fois par semaine (51% dont 4% au moins une fois par jour, 27% entre deux et cinq fois par semaine et 20% une fois par semaine).

14% affirme le faire moins d'une fois par mois et seule une femme sur dix dit ne jamais avoir de relations sexuelles (11%).

Par ailleurs, si une majorité de femmes dit être satisfaite de la fréquence de ses relations sexuelles (62%), seule une minorité déclare que c'est « tout à fait le cas » (19%), la plupart d'entre elles se disent simplement «plutôt» satisfaites (43%).

D'ailleurs, idéalement, presqu'une femme sur deux aimerait avoir des relations sexuelles plus fréquentes qu'aujourd'hui (47%).

Seulement 6% avouent qu'elles préféreraient faire l'amour moins souvent (contre 46% qui se montrent satisfaites de la fréquence actuelle de leurs relations sexuelles).

L'enquête apporte des éléments d'explication : en effet, seulement une femme sur deux déclare qu'elle prend souvent l'initiative de l'acte sexuel (53%).

Les autres ne le font que rarement, voire jamais (44%).

C'est donc une forme d'autocensure que de nombreuses femmes s'appliquent à elles-mêmes en laissant encore (trop) souvent l'initiative aux hommes.

Là encore, l'âge est un facteur clivant : les plus jeunes prennent plus fréquemment les choses en main que les plus âgées (69% des 18-24 ans).
 

Les attitudes, les comportements et les attentes de la génération des moins de 25 ans : une révolution en marche ?

Des pratiques sexuelles bien plus libérées et appréciées par les 18-24 ans : cunnilingus, fellation, 69...

En matière de sexualité, on sait depuis toujours qu'il y a des effets d'âge et que les comportements et les perceptions varient beaucoup en fonction de la génération à laquelle on appartient et de l'âge de la vie dans lequel on se situe (jeune célibataire, en couple avec ou sans enfant, jeune retraitée, etc.).

En effet, la génération des 18-24 ans (et dans une moindre mesure celle des 25-34 ans) détonne fortement par rapport aux autres.

Le fait est que cette génération de jeunes, tout comme celle des 25-34 ans, exprime un engouement beaucoup plus fort pour des pratiques que les générations plus âgées n'apprécient peu, voire pas du tout.

Ainsi, la grande majorité des 18-24 ans dit apprécier le cunnilingus (63% contre 52% au global), la pratique de la fellation (58% contre 47% au global) ou encore du 69 (54% contre 48% au global).

Dans une moindre mesure, une femme de moins de 25 ans sur trois dit aussi apprécier de se masturber devant l'autre (30% contre 24% au global).

Seule limite, la sodomie que 37% des 18-24 ans n'ont jamais pratiquée et que 51% n'apprécient pas.

Dans le même temps, les femmes de 18-24 ans n'acceptent pas plus que les autres de se plier à des pratiques sexuelles qu'elles n'apprécient pas, comme faire l'amour alors qu'elles n'en ont pas envie (67% le font rarement ou jamais contre 66% au global).

De même, la majorité d'entre elles avoue souvent demander franchement ce dont elles ont envie au lit (54% contre seulement 44% au global).

Si les jeunes femmes prisent ces pratiques sexuelles, c'est probablement d'abord parce qu'elles les apprécient et donc pour «se» faire plaisir.

Surtout, cette jeune génération, certes plus libérée et plus exigeante, ne semble pas être en recherche du plaisir à tout prix et chercher à en repousser les limites toujours plus loin.

Elle se montre presqu'autant réfractaire que les autres à l'amour à plusieurs (74% contre 81% au global), au sadomasochisme (89% contre 91% pour l'ensemble) ou encore à l'échangisme (92% contre 91% pour l'ensemble) ou à la possibilité d'avoir une relation homosexuelle (72% contre 78% au global).

Pour ce qui est de prendre un amant, l'idée les séduit moins que leurs aînées (74% disent «moi, jamais»).

Avec l'âge, l'idée semble faire son chemin chez une partie de la population féminine : 40% des femmes de 35 ans et plus l'ont déjà fait ou souhaiteraient en prendre un.

 

Sondage IPSOS


 Parmi les situations suivantes, quelles sont

celles qui vous font le plus fantasmer? Faire l'amour...

%
Dans la nature 29
Dans un train ou un avion 10
Dans une baignoire 10
Dans un ascenseur 9
Dans une voiture 8
Sur la table de cuisine 7
Sur le lieu de travail 6
Sous une porte cochère 6
En attachant votre partenaire 2

 

 Parmi les personnes suivantes,

quelles sont celles qui vous font le plus fantasmer ?

%
Les comédiens (nes) 20
Les mannequins 15
Les sportifs (ves) 14
Les infirmières 10
Les hôtesses de l'air 7
Les pompiers 6
Les milliardaires 5
les hommes ou femmes d'affaires 5
Les médecins 4
Les collègues de travail 3
Le voisin ou la voisine 3
Les avocats 2
Les hommes ou femmes politiques 2
Les agriculteurs 2
Les routiers 1

 

  A propos des fantasmes, quelle attitudese

rapproche le plus de la vôtre? Vous vous dites...

%

C'est une bonne chose d'en avoir cela permet

d'avoir une sexualité vivante et d'éviter la routine

67

C'est une mauvaise chose car c'est la porte ouverte

à l'infidélité et à toutes les déviances

16
NSP 17

 

 Quand vous avez des fantasmes, quellle votre réaction ?
%
Vous essayer de les oublier de ne pas y penser 13
Vous y pensez souvent mais vous les garder pour vous 28
vous trouvez ça drôle vous les racontez 24
Vous essayer de les réaliser 14
NSP 21

 

 Pour chacune des choses suivantes, pouvez-vous me

dire si vous l'avez déjà faite ou non ?

Oui Non NSP
Essayer des positions sexuelles compliquées 34 45 21
Faire l'amour dans des lieux ou situations extraordinaires 33 47 20
Pratiquer la sodomie 9 71 20
regarder d'autres faire l'amour 7 73 20
Faire l'amour à plusieurs 5 76 19
Faire l'amour en étant vu par d'autres 4 76 20
Avoir des pratiques sadomaso 2 78 20
Faire l'amour avec quelqu'un du même sexe que vous 3 78 19

 


Par Essentiel - Publié dans : Jeu de l'oie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés