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Merci à Mots et maux
Dans sa main, il a pris les rênes du plaisir.
Ce ruban, lanières des désirs.
Maître devant sa toile, il y dessine des lignes... des courbes rougeoyantes.
De sa feuille, il la signe... elle s'arc-boute frémissante.
Il la façonne... la désarçonne et l'emprisonne.
Sur son ventre ondulant, il esquisse les empreintes convoitées.
Sur ses hanches languissantes, glissent les morceaux désirées.
Entre ses cuisses tremblantes, il vient s'immiscer, s'enrouler.
Il la caresse avec noblesse.
La dresse avec délicatesse.
Aux glissements envoutants.
Aux éclairs enivrants.
Aux étincelles incandescentes.
Il trace sur son corps... les lignes du plaisir.
S'offrir, S'ouvrir, gémir... et... lui appartenir...
Le Nyotaimori (女体盛り?) (littéralement « présentation sur le corps d'une femme »), plus connu sous le nom de « corps sushi », consiste à manger des sashimis ou des sushis présentés sur le corps d'une femme nue.
C'est une ancienne tradition japonaise (dont l'origine est obscur) qui consiste à déguster des morceaux de poisson cru sur le corps nu d'une geisha encore vierge. Cette pratique est censée transmettre aux aliments une énergie particulièrement bénéfique.
Pendant le repas, la femme doit rester complétement immobile sans rechigner. Autrefois, c'était une pratique comme la
danse, le chant dans l'apprentissage d'une geisha. Avant le repas, elle est parfaitement épilée et lavée.
Dans le passé, différents types de sushis étaient placés en des endroits précis du corps mais aujourd'hui, les établissements de nyotaimori ne pratiquent plus ces rituels et se contentent de disposer les sushis de façon décorative.
Et si nous lisions entre les lignes ?
L'utilisation de la cravache... |