Nous étions tous les deux sur MSN, mon Maître et moi.

Et quand c'est comme cela, je sais qu'il travaille.

Pour ma part, je m'adonne à visiter des sites de Soumises.

Je suis très curieuse de savoir, je suis étonnée de la manière

Elle "accouche" sur le Net de leur état de Soumise.

Cependant j'apprécie, et cela me mets en appétit.

« Maître je vais faire une p’tite sieste »

« Moi aussi" me dit il. »

« Quand je regarde ces sites de soumission. »

« Cela me donne envie de me masturber. »

J'attends sa réaction, car je dois au préalable lui demander.

« Fais le, je veux un rapport »

« Oui Maître. »

J'ai toujours quelque réticence à lui faire un rapport comme il me l'exige. Il n'y a plus de place à mon intimité, il s'en approprie.

« Dans ton cul tu mets quelque chose. »

« Oui, Maître. »

Je fais un tour d'horizon de ce que je possède.

Je n'ai pas grand chose à vrai dire, et je dois faire appel à mon imagination.

« Je mouille, Maître. »

Je lui fais part de mes sensations, pour l'exciter aussi.

« Je choisis de mettre plusieurs bougies Maître. »

J'attends sa réponse.

« Oui. »

« Combien ? »

« Cinq ! »

« Oui Maître. »

« Merci Maitre. »

Je le laisse pour aller assouvir mon désir, et contente à la fois d'avoir son approbation.

Lors de ma séance, je me mets en position comme il me le demande lors de nos rencontres.

Nue, allongée, parfois à 4 pattes.

Je commence à me caresser, à introduire mes doigts dans mes orifices.

A chaque fois il me dit :

« A quoi sert tes orifices. »

« A vous recevoir Maître. »

Je prends soins de les lubrifier, j'enfonce mes doigts un à un pour recevoir les bougies.

Comme si c'était son sexe qui rentrait dans ma rondelle et ma chatte.

J'aime ces moments de délices, quand il me prend sans ménagement.

Il le sait et il en profite.

J'accepte, c'est parfois un peu difficile, mais j'aime car je sais qu'ensuite je vais vibrer.

Et vivre mon statut de soumise, je suis à sa merci.

Je dois le satisfaire et l'honorer...

J'attrape les bougies, j'en mets une dans mon anus.

Je l'enfonce le plus loin possible, enfin une seconde.

Elle fait obstacle, j'essaye de l'introduire, je n'y arrive pas.

Alors, j'y mets mes deux doigts.

Tout va bien, mais il ya toujours résistance à en mettre une autre.

Je m'aperçois que je ne suis plus réceptive à la douleur.

Je vais devoir y remédier.

Pour combler ce manque, je l'enfile dans ma chatte.

Et je commence à me masturber, en faisant glisser l'une après l'autre.

C'est exquis, je continue et là je les attrape toutes les deux.

Et je me burine comme si c'était son sexe.

Je fais durer le plaisir, je prends mon temps. Je l'entends me dire les choses, que j'aime.

« Tiens prends ça soumise. »

« Tu m'appartiens. »

Je fais résonner ces phrases dans ma mémoire affective, comme un cadeau, une récompense.

Il me tarde, alors je me caresse frénétiquement pour me faire jouir.

Dans une extase à son comble, je savoure cet instant.