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Merci à Mots et maux
De la sueur
entre les seins en remuant et chantant, de la chaleur dans les cuisses. Un peu d'épaisseur aux hanches et au ventre doux, un grain de beauté haut sur la joue droite et d'autres sur les seins qui
ruissellent un peu de la sueur.
Je retire sous la pluie ton string turquoise et noir dans la rue.
Vouloir te lécher là.
On prend l'ascenseur.
J'exhibe ta vulve lisse à l'infini sur la glace.
Je la laisse ouvrir levant la jupe dans ton dos ramassant
du doigt tout la cyprine qui suinte que je lèche.
Les grandes fenêtres ouvertes sur la nuit, tu te retiens à la table et je sors de mon jean ma verge que je pousse immédiatement en levrette sur ta sueur t'anus. Et je dérape doucement dans la
mollesse de sue et de béance glabre que tu cambres un peu davantage pour que je te baise.
Je m'enfonce dans le beurre mou et rose de ta vulve avide de jouir. Je retire ta veste, tu lèves les bras, ton chemisier et le soutien-gorge.
Tes seins de sueur et de lait avec des petites flaques humides d'aréole que je voudrais
lécher.
Comme un velours d'humidité le long de ton dos et le flasque remuement de tes fesses. Je m'écrase, vais et viens dans ta vulve très bombée et peu développée avec juste un trait rose de petites
lèvres qui me décalotte bien quand je glisse lentement au bout de tout.
Entre tes reins. Je lisse puis me tiens à tes seins pour aller avec rythme claquer les flaques humides de nos croupes.
Je m'arrête.
Reprends. Millimètre par millimètre de ta vulve sans poils.
Arrête à nouveau.
Descends une main, puis l'autre qui vont
fouiller, passer, appuyer fort et légèrement, trouver la nacre, alors que j'appuie au fond de tout.
Je saccade
d'immobilité. Installé ainsi pour des heures. Je te cambre un peu plus exposant ta rondelle rose qui se détend un peu davantage et s'épanouit, je vois entrer et sortir mon sexe rouge avec les
filaments de bave et cyprine qui nous collent et nous relient.
Je me retiens...
Me déshabille...
Je descends, prends ta croupe
des deux mains, me mets à genoux et entreprends la grande dévoration de tout le bonheur du monde.
Pour lécher ta
bouche…
Tu as un bon
goût d'amende, de marée, salé… que je fouille de ma langue.
Je caresse tes cuisses, t’ouvre,
t’écarte.
Tes odeurs… mouillées…