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Il appuya sur la télécommande de la chaîne et une musique plus insistante envahit la pièce.

« Concentrez-vous sur la musique et sur vos sensations, lui demanda-t-il. Les deux doivent totalement occuper votre esprit. »

 

Ses mains se posèrent d’abord sur son ventre, le malaxant avec douceur, puis remontèrent vers le cou et la gorge, avant des descendre vers ses seins, hésitantes puis les englobant délicatement. Leur pression augmenta progressivement. En même temps, ses pouces effleurent les mamelons. Elle les sentit durcir. Lui aussi. Il les prit entre le pouce et l’index et les roula avec délicatesse. Elle se sentit bouillir.

«  Je vous en prie, ça me fait tout bizarre… » Essaya-t-elle d’objecter.

 

Mais le médecin, avec la même concentration, continua sa caresse en plantant son regard dans le sien :

« Votre bouche dit non, mais votre corps dit oui, lui murmura-t-il à l’oreille, il faut donc continuer. Jusqu’à ce que ce soit votre corps qui commande à votre bouche. C’est ça, la réussite de la thérapie. Laisser au corps dire ce dont il a besoin. »

 

 

La pression des caresses augmenta encore. La poitrine se trouva emprisonnée dans des mains actives et expertes. Il baissa la tête et sa joue vint frôler les mamelons durcis. Elle laissa échapper un mouvement involontaire du bassin qui souleva son ventre.

« Je crois que la nymphe commence à apparaître chuchota-t-il. Il va falloir la solliciter davantage. »

 

Tandis qu’une main titillait le bout de ses seins, l’autre redescendit vers le ventre et du bout des doigts repoussa d’un cran l’élastique de la jupe. Sa respiration s’accéléra : se fit sifflante à travers sa bouche entrouverte.

«  Vous ne… oh non… mon… jamais je n’aurais cru… »

« Voilà qui est bien. » la complimenta-t-il :

« Exprimez-vous, dites ce que vous pensez. Laissez-vous faire, savourez cette liberté que votre corps découvre, et mettez des mots sur vos désirs. Cela fait partie du traitement. »

 

 

Elle n’osa pas, se retint, mais elle pressentit que l’excitation qui la gagnait allait lui poser des problèmes. Elle eut peur d’elle-même, de ne plus arriver à se contrôler. Elle prit conscience que ses principes s’évanouissaient devant ce savant massage. Elle ressentit la montée d’une moiteur insidieuse dans son slip de coton. Son souffle s’accéléra encore. Les caresses continuaient, impitoyables.

«  Je crois qu’il faut passer à l’étape suivante lui souffla-t-il à l’oreille. Votre corps la réclame, il faut que vous appreniez à vous libérer. »

 

Marie crut défaillir. La main gauche du médecin se posa sur son genou puis remonta lentement sous sa jupe en caressant l’intérieur des cuisses. Elle se raidit, les refermant par un réflexe machinal.

« Détendez-vous, vous êtes bien, vous êtes heureuse, laissez-vous aller. Votre corps veut cela. Une seconde d’indécision, puis elle se relâcha. Elle rouvrit ses cuisses au passage de la main conquérante qui poursuivit son ascension. Elle s’attarda sur la peau tendre puis arriva au frêle rempart blanc de coton blanc. Elle paniqua :

« Noon. Oh noooon …je vous en prie… ce n’est pas bien… il ne faut pas… »

 

Il se pencha vers elle, son visage presque à toucher le sien :

«  Voulez vous que j’interrompe ce traitement sur-le-champ ? Dites-le et ce sera fait. »

 

Le silence de Marie… un lourd silence… lui répondit. Yeux brillants, lèvres entrouvertes, elle aspirait l’air en sifflant. Elle se raidit encore en sentant la main prendre possession de sa chatte à travers le tissu.

 « Madame, vous êtes trempée. » dit-il avec un large sourire en la fixant. Elle rougit jusqu’à la racine des cheveux. Elle tenta encore d’une voix enrouée :

« Je vous en prie… j’ai honte… »

 

Mais la volonté n’y était plus. Une autre se dessinait, gonflait comme un océan. Elle n’avait jamais rien connu de plus commun que son mari lui caressant la chatte par jeu ou par routine. Exceptionnellement jusqu’à l’orgasme… Mais cette fois-ci, elle sut qu’elle échappait au sempiternel conjugal. Elle souhaita être branlée et jouir en toute liberté : elle s’effraya de l’audace et de l’énormité de cette pensée. Elle écarta néanmoins les cuisses. Il la félicita :

 « Voilà, c’est déjà mieux ! Détendez-vous encore. Voilà, dit-il en accentuant la pression du plat de la main contre son sexe. »

 

Il le pinça légèrement entre ses doigts.

«  Vous êtes trempée, je dois vous défaire… »

 

Il lui tira la jupe vers les chevilles et la laissa choir au sol. Puis il saisit l’élastique du slip et fit lentement glisser le coton le long de ses jambes. Elle cacha ses yeux derrière sa main, morte de confusion autant que d’excitation. Le regard du médecin était rivé sur sa chatte.

« Elle est superbe, madame ! Bien dessinée, bien renflée et mouillée à souhait. Elle est vraiment faite pour le membre du mâle ! »

 

Son doigt alla et vint en un geste régulier de haut en bas dans la fente. Elle respira encore plus fort, crispa ses mains et releva légèrement son bassin. Lorsque le doigt lui toucha le clitoris puis le titilla de plus en plus vite, elle crut défaillir. Le plaisir lui tenaillait le sexe, la sortant de ses gonds :

« Vous ne… ! …C’est booooon, oh, c’est bon… » Gémit-elle.

« Quel gaspillage ! Une chatte pareille condamnée au repos. C’est criminel ! »

 

Sa masturbation s’accéléra encore. elle ne se retint plus et laissa échapper des gémissements. Il se pencha brusquement vers elle et lui intima :

«  Jouis ! »
 

Par Essentiel - Publié dans : Textes pour ELLES
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