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Elle ne put se retenir. Elle mouilla comme une fontaine tandis que l’orgasme la tétanisa. Jamais on ne l’avait branlée ainsi, elle crut exploser de plaisir.

 

Le médecin la regarda avec un sourire et déclara :

 

Ce stade comporte deux étapes. Vous avez remporté la première haut la main. Votre chatte aime être branlée. Aime-t-elle aussi être léchée ? Je pense que oui. »

 

Marie n’eut plus la tête à protester. Mais il insista en prenant la télécommande :

 « C’est au corps de commander la parole. Il faut que vous formuliez votre souhait. »

 

Éperdue, elle le fixa. Jamais elle n’en aurait le courage. Il sut alors ce qu’il fallait faire. Il tourna à moitié elle vers lui et approcha son visage de son sexe.

« J’attends votre ordre ; si vous avez envie d’être léchée, il faut le dire. C’est la thérapie qui le veut. »

«  Je… je n’ose pas… le dire… »

« Voulez-vous qu’on en termine là ? Demanda-t-il calmement en relevant son visage ? »

«  Nooon… pas maintenant… »

« Alors ? »

« Oui, léchez-moi... Oui, j’adore la langue... » Dit-elle.

 

Elle reçut la caresse comme un électrochoc. Et l’accompagnement sonore ne fit qu’accentuer ses sensations : une femme en train de jouir, gémissements et cris, au rythme de coups de boutoirs. Elle se sentit encore plus électrique. Cette langue s’avérait démoniaque ; elle fit sauter un à un les verrous d’un plaisir sauvage trop longtemps ignoré. Elle le sentit irradier de son intimité ruisselante dans tout le corps. Elle devint folle d’excitation. Sa tête s’agita frénétiquement de gauche à droite. Elle ne se contrôlait plus. Ses cuisses serrèrent la tête de l’homme qui lui bouffait la chatte.

«  Ouiiiiii ! C’est booon ! Léchez-moi encore… encore… oh ouiiii ! »

 

Elle se savait inondée et sentit trois doigts pénétrer dans son vagin avec une facilité déconcertante puis entreprendre un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Une nouvelle vague de sensations la submergea. C’était presque meilleur qu’une queue bien dure. Elle sut qu’elle allait totalement perdre le contrôle de soi. Dans les haut-parleurs, la femme criait une litanie d’obscénités sous les coups de bite qui la défonçaient. Les mots crus s’imprimaient dans sa tête, épousaient ses pensées ; elle les fit siens. Mais ce qui rendit elle complètement folle et déclencha le second orgasme, ce fut lorsque l’extrême bout de la langue titilla son clitoris à une vitesse folle. Elle lâcha son plaisir comme un ouragan en s’arc-boutant sur le banc d’auscultation, puis s’effondra telle une poupée de chiffon. En ouvrant les yeux, elle découvrit le médecin souriant, penché vers elle.

« Vous êtes une patiente modèle et je constate que le traitement vous convient. Il n’est cependant pas complet. Il reste une étape, décisive pour votre guérison. » Son sourire s’élargit encore, tandis qu’il enfonça à nouveau deux doigts dans sa chatte en les faisant aller et venir doucement :

 

Ses doigts continuèrent leur lent mouvement de va-et-vient. Elle serra ses cuisses pour mieux les ressentir.

« Cette thérapie exige que le corps commande à la parole, je vous l’ai dit. Voulez-vous… la suite ? »

 

Elle sut qu’elle n’avait plus le choix. L’excitation la reprenait, énorme, sous l’effet du piston des doigts dans sa chatte. Son bassin s’agita à nouveau. Elle céda, et ce fut comme une délivrance :

« Oui, prenez-moi… ouiii… pénétrez-moi j’ai envie… vous me rendez folle… vous savez y faire, vous êtes… vous êtes…ignoble. »

« Regardez, Madame. »

 

Elle fut stupéfaite. Il exhiba près de son visage un membre de longueur normale mais…

« Touchez-le, avant qu’il ne vous pénètre. »

 

Il lui mit le membre dans la main. Il était chaud, dur et tendre à la fois, comme velouté.

«  Embrassez-le, vous en mourrez d’envie. »

 

Elle eut une seconde d’hésitation, puis posa ses lèvres sur la verge maintenant dressée et sans qu’elle sache ce qui lui prit, elle la prit en bouche. Elle suça avec délice, faisant aller sa tête d’avant en arrière, les doigts crispés autour de la hampe. Il prit sa tête entre ses mains, accompagna son geste en lui titillant l’intérieur des oreilles avec ses index. La bouche pleine, elle pompa de plus en plus vite, serrant presque les dents. Sa langue mena un bal de caresses circulaires autour l’objet qui emplissait sa bouche. Il s’enfonça plus profondément. Elle crut étouffer ; elle le sentit se retirer.

 «  Maintenant, c’est votre sexe qui va l’accueillir. » dit-il en la plaçant perpendiculairement par rapport au banc d’auscultation. À demi adossée au mur, presque assise, elle se fit remonter les genoux contre la poitrine et ses jambes passèrent par dessus les épaules du médecin. Elle eut l’impression d’être prise dans un étau. Et petit à petit, une sensation nouvelle, délicieusement insupportable….

 

Il lui caressait lentement la fente de haut en bas avec sa queue qu’il dirigeait d’une main sûre. Plusieurs fois, il feignit la pénétration par un simulacre de poussée ce qui l'excita au plus haut point. Des de tremblements agitèrent ses cuisses. Elle se tortilla et supplia :

«  Je vous en prie… ne faites pas ça… je n’en peux plus ! »

 

Imperturbable, il continua la caresse. Elle en devint folle :

« Mettez-moi la queue… je vous en supplie… enfoncez-la… »

 

Sourd à ses suppliques, il lui frotta le clitoris avec le membre dur. Alors elle n’y tint plus. Elle se plaqua contre lui de toutes ses forces en donnant des coups de violents coups de bassin. Et elle sentit cette bite la pénétrer d’un coup. Avec une violence inouïe, il la défonça sur un rythme endiablé, sans lui laisser le temps de se remettre.

 

Elle cria de plaisir ; des jappements de bonheur, montèrent de sa gorge.

 « Ouuuiiiii… encore… encore… défoncez-moi… c’est boooooon ! »

 

Cette queue la rendait folle. Elle la sentait dans sa chatte, dure comme du béton dans son impitoyable va-et-vient de marteau-pilon. Toutes ses pensées se cristallisèrent sur sa soumission à cette bite infernale : jouir, jouir, jouir ! Plus rien d’autre ne compta que ces coups de boutoir profonds et violents. Elle gémit sans interruption, jappa, bafouilla des mots sans suite, tenta de s’empaler plus avant sur le membre énorme. Un premier orgasme la fit crier, il lui plaqua la main sur la bouche ; le second suivit derechef… Le rythme s’accéléra encore.

 «  Mmmhhh…. Ouiiiiiiii…. Mffouiii »

 

Elle perdit tout sens de la réalité. Ses pensées se figèrent dans sa tête lorsqu’elle sentit la longue et chaude giclée de sperme exploser dans son ventre. Elle perdit conscience…

 

oooOOOooo

 

Plus tard…

 

Le visage souriant de son amie apparut sourient. Elle se mit à rire :

 «  N’est-ce pas qu’il est extraordinaire, mon copain le toubib ? C’est le meilleur étalon que je connaisse ! Il me fait jouir à chaque fois. Remarque, il n’est pas plus toubib que toi et moi ! Je t’ai monté un bateau avec super mise en scène et il a accepté de jouer le rôle du partenaire. »

 « Tu… quoi ? »

 « Mais c’est ignoble… »

 « Oh oui… »

 

Elle ferma les yeux… elle sentit remonter le désir. Ses mains s’aventurèrent entre ses cuisses et recommencèrent à la caresser…



 

Par Essentiel - Publié dans : Textes pour ELLES
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