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Riviere Du Mal par Ron Jones

Tranquillement adossé à un arbre je profitais des premiers rayons de soleil du printemps. Le long hiver qui m’avait éloigné de la fournaise des villes, m’avait finalement permis de retrouver dans les bois les racines de plaisirs authentiques. La douceur de l’astre comblait pleinement mon besoin de chaleur quand une odeur oubliée de mes narines me tira soudainement de la douce torpeur de ma sieste. C’était un mélange de sucre vanillé sur un fond curieusement torréfié. Mais l’odeur un instant imprécise se complétait maintenant du son feutré d’un pas léger. Qui pouvait bien s’aventurer si loin dans le bois. Nul ne s’était jusqu’alors inconsciemment  avancé sur mon territoire.    


Entre les arbres j’aperçois la silhouette gracile d’une jeune ingénue toute de rouge vêtue. Ses longues jambes d’un blanc laiteux, chaussées de  hauts escarpins, n’en finissaient pas. Je voyais déjà mon museau glisser à l’intérieur de ses cuisses chaudes et ma truffe découvrir cette petite culotte en coton
rouge enveloppant au plus prés son petit fruit charnu.  


Une mini jupe de cuir souple d’un
rouge carmin moulait sa croupe ferme et rebondie.    
Elle ne m’avait pas encore vu, et continuait d’un pas décidé. Je la suivait d’arbres en arbres. Elle n’avait vraiment pas froid malgré la fraîcheur des bois, à peine vêtue de sa jupette et d’un mini bustier exposant au regard du soleil une poitrine ronde et abondante. Ses cheveux souples fraîchement lavés ondulaient sous son pas décidé.  


Elle tenait à la main un panier d’osier qu’elle balançait presque mécaniquement. Soudainement à quelques mètres de moi la voilà qui s’arrête et qui se penche pour ramasser des fruits des bois. Mon cœur s’emballe à la vue de ce tableau. La jupette se soulève et la culotte de coton
rouge me flache littéralement me brûlant la rétine pour les 30 prochaines années. Une paire de fesses à damner un mouton apparaît en haut de ses cuisses terriblement irrésistibles. J’ai la bouche sèche, les yeux rougis et suis pris de tics nerveux. Et l’odeur de vanille revient, mais il y a autre chose, quelque chose qui m’ordonne d’agir. Je n’en peux plus, je m’accroche à mon arbre et mord frénétiquement l’écorce. Elle s’agenouille sur la mousse, pose son panier et se retourne. Je vois alors la pointe brune de ses seins s’échapper de son bustier et lourdement onduler à chacun de ses gestes. Ma gorge se noue, mon sexe durcit en un éclair, mon cerveau ne fonctionne plus, toutes mes ressources sont prisent par mes sens.  


Je traverse le chemin sur la pointe de pattes et m’approche. Je ne suis plus qu’à quelque pas derrière elle. Mes yeux se croisent sur sa croupe, et je me vois déjà entrain de lui mordiller le cou. L’odeur sucrée qu’elle dégage me dissout les neurones mais la tendre douceur de ses yeux sombre me chavire. Qu’elle est belle ! L’ingénue reprend son panier et continue sa quête sans même se retourner. Oh que j’aime la fraîche solitude et les plaisirs authentiques de mes bois.. 



Par Essentiel - Publié dans : Jeu de l'oie
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